Monsieur le Premier ministre, pour 2016, une solution d’appoint a été trouvée en urgence, en complément d’un vaste plan d’économies mené par la région Île-de-France avec le soutien de l’État. Vous avez vous-même rencontré Valérie Pécresse à ce sujet.
Vous vous étiez personnellement engagé à trouver une solution pérenne pour 2017 et les années suivantes. Alors que le budget de l’État est en cours d’arbitrage, quel financement comptez-vous proposer pour régler définitivement la facture de 300 millions d’euros par an du passe Navigo ?