…et vouloir qu’ils soient interdits de sortie de territoire par le biais du rétablissement de cette obligation.
Je me permets néanmoins d’insister auprès de vous, monsieur le secrétaire d’État, pour que les régions frontalières, contraintes par la nature des choses et par la configuration de leurs voies routières, ferroviaires ou autres, bénéficient dans le décret qui sera pris, non pas d’un assouplissement, mais de mesures qui permettent tout simplement aux gens de vivre et de travailler normalement. Nous sommes des zones de croissance de l’Union européenne. Évitons de perdre, sous l’effet d’une certaine peur, les possibilités qui nous ont été offertes jusqu’à présent !