La question du parcours est fondamentale pour le RNJA, qui revendique la reconnaissance du droit d'association des mineurs. Il faut semer les graines de la vie associative dans les établissements scolaires, où l'expérience pratique de la citoyenneté est malheureusement loin d'être une réalité. C'est plutôt la place de l'adulte qui pose problème : il devrait faire confiance aux jeunes. Les Juniors associations proposent un cadre de responsabilisation qui permet aux jeunes de s'auto-organiser. En étant responsables de leurs projets, de leur budget, de leurs contacts avec l'extérieur et les institutions, les jeunes se créent eux-mêmes des devoirs et sont reconnus dans l'exercice de leurs droits.
Je vous enverrai un argumentaire sur la responsabilité pénale.