La coordination est reconnue comme faisant partie de notre rôle. Elle n'est pas rémunérée, vous le savez aussi bien que nous.
M. Amouroux dit que l'infirmière salariée de l'hôpital sera capable de déterminer s'il faut mettre en place l'équipe de ville ou l'HAD, mais le problème est qu'elle ne nous connaît pas. C'est là que le bât blesse : les infirmières salariées et les infirmières libérales ne se connaissent pas, je le constate tous les jours, car elles n'ont pas appris pendant leur cursus comment les unes et les autres fonctionnent. Comme nous ne nous connaissons pas, nous ne nous parlons pas : ce sont les structures qui, de plus en plus, parlent aux structures.
Ensuite, vous proposez que le SIIAD prenne le relais. Mais des SIIAD font appel à nous car ils ne fonctionnent pas les samedis, dimanches et jours fériés !