Merci cher collègue. Monsieur le directeur général, vous pouvez voir que nous ne sommes pas nous-mêmes à l'abri d'indignations sélectives, qui d'ailleurs expriment les liens croissants entre le débat national et les questions internationales. Je suis personnellement absolument persuadée de l'utilité des organisations non gouvernementales. Pour en avoir créé, pour en présider deux au moins en ce moment, je considère qu'il y a une complémentarité entre le travail des organisations non gouvernementales et celui des parlementaires, dans la mesure où nous devons, nous, parlementaires, être aussi un lien avec les sociétés civiles. Je peux d'ailleurs mesurer beaucoup de choses que vous avez dites dans l'une des ONG, la Fondation Anna Lindh pour le dialogue des cultures, que je préside depuis un an maintenant. Je crois, comme l'a dit Valérie Fourneyron, que consulter des organisations non gouvernementales est pour nous un très grand avantage. Nous le faisons pour chacun de nos travaux qui sont, vous avez pu l'entendre, divers.