La vérité est que ces mouvements sont un mélange disparate de revendications catégorielles – que pour l’essentiel je respecte – sans liens les unes avec les autres, et sans rapport réel avec le projet de loi sur le travail.
Les salariés de la SNCF ne sont en effet pas concernés par les dispositions de ce projet de loi et il est incompréhensible – au delà-même, d’ailleurs, des intempéries – qu’ils choisissent de se mettre en grève pour ce motif, alors même que plusieurs syndicats approuvent la philosophie même de ce texte de loi.
Le 08/06/2016 à 08:51, laïc a dit :
Moins il y a de philosophie, mieux on se porte et pense avec clairvoyance.
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