Mais aujourd’hui, les prix sont des phénomènes qui s’imposent à l’échelle mondiale. On ne peut pas demander au ministre de l’agriculture de tout régler, même s’il doit et qu’il va régler certains problèmes, en particulier – vous avez oublié de l’évoquer – toutes les crises sanitaires que nous connaissons. Dans ce domaine, comme en matière de soutien à l’élevage, l’État est mobilisé pour aider les agriculteurs. En effet, c’est le seul enjeu qui compte.