Monsieur le député, votre question porte sur deux sujets, sur lesquels vous intervenez d’ailleurs souvent.
Tout d’abord, l’avenir des infrastructures et leur financement, que vous avez évoqués dans la deuxième partie de votre question en mentionnant notamment les lignes à grande vitesse, sont indépendants de la négociation que nous avons aujourd’hui et concernent plutôt le financement de l’Agence française des investissements. Celle-ci devra en effet recevoir des moyens supplémentaires ou du moins bénéficier d’arbitrages en sa faveur compte tenu des engagements qui ont été pris.