Je remercie M. le rapporteur pour avis de sa bonne volonté et je salue, par son intermédiaire, M. le ministre de l’agriculture, qui, encore récemment, m’a semblé comprendre – comme d’ailleurs son homologue de l’intérieur ainsi que M. le Premier ministre – combien le problème est majeur.
Depuis des années – y compris sous la majorité précédente –, la France se cache les yeux et balaie cette question majeure sous le tapis. Or elle est de nature à nourrir une colère légitime de la part de l’ensemble des Françaises et des Français. Il ne serait pas raisonnable de continuer à refuser de l’aborder, car il existe un enjeu sanitaire. De nombreux vétérinaires se soucient d’ailleurs de plus en plus de la question.
Je vous remercie donc, monsieur le rapporteur pour avis, de votre bonne volonté.