Je disais cela sans esprit polémique, souhaitant simplement souligner que l'ensemble des groupes parlementaires sont divisés sur la question de savoir s'il faut poursuivre la politique d'incitation actuelle ou passer à une politique de coercition. C'est une question qu'il faudra bien trancher.
Par ailleurs, vous avez mentionné la situation des urgences. Or je vous rappelle qu'il y a un an, nous avons publié un rapport d'information consacré à l'ensemble des urgences, et à la permanence des soins en général ; ce rapport, qui comporte plusieurs préconisations, a été adopté à l'unanimité par notre commission. La réflexion que vous souhaitez engager a donc été menée et conclue…