Madame la secrétaire d’État, je reste un peu sur ma faim. Je note que l’intention de mettre en pratique la coopération transfrontalière en matière sanitaire est désormais plus marquée. Cependant, les délais sont là aussi trop longs : l’intention est sensible depuis une dizaine d’années, puisque l’accord date de 2005 ! Elle pourrait aujourd’hui être suivie d’effet plutôt que complexifiée par des documents administratifs sur lesquels je vous remercie de bien vouloir vous pencher. Cette intention doit désormais prendre la forme d’actions concrètes dans le secteur.