Monsieur le Premier ministre, comme les États-Unis, samedi, à Orlando, la France vient d’être de nouveau frappée par la folie sanguinaire, avec l’assassinat d’un couple de policiers, hier, dans leur maison du département des Yvelines.
Nous avons, en cet instant, une pensée émue pour leur petit garçon, que la haine a rendu orphelin. Nous avons également une pensée émue pour leur famille et leurs collègues. Je voudrais dire toute notre solidarité aux forces de l’ordre, dont la mobilisation de tous les instants, sur tous les fronts, exige, chacun le sait, sang-froid et abnégation.