Oui, bien sûr…
Quoi qu'il en soit, les règles applicables aux prélèvements ne changent en rien. C'est le droit de l'environnement qui ne doit pas reculer : il s'agit de protéger le droit de l'environnement en général et la biodiversité en particulier.
Effectivement, si des espèces sont menacées, il faudra faire en sorte qu'elles ne disparaissent pas. Une espèce de moins, c'est moins de biodiversité ; nous ne souhaitons pas voir disparaître les espèces.