Nous examinons un texte qui nous permettra de traduire dans notre droit le protocole de Nagoya pour réparer des injustices et tenter de faire cesser la bio-piraterie et le pillage des ressources et des savoir-faire des territoires d'outremer. Nous pouvons nous enorgueillir de cette démarche. Le moins que l'on en puisse dire est que ce que nous venons d'entendre n'est pas à la hauteur de l'enjeu.