Par ailleurs, il a fait l’objet de beaucoup de discussions au sein de la commission des affaires sociales et a été enrichi de près de huit cents amendements.
Je veux dire les choses très directement et très franchement. Sur les points que vous avez évoqués et qui sont des points fondamentaux du texte – je pense en particulier à l’article 2 et aux dispositions relatives au dialogue social au sein de l’entreprise –, le Gouvernement restera sur la même position. Chacun le sait et ce que vous appelez le mouvement social le sait parfaitement aussi.
Nous pensons que ce texte sert l’intérêt général. Il ne s’agit pas d’une posture ; il ne s’agit pas de tenir pour tenir ; il ne s’agit pas d’un problème personnel, ni d’une discussion entre le Gouvernement et une organisation syndicale.