En second lieu, cette question a également des liens avec la sécurité et avec la paix. On sait en effet que, si nous ne faisons rien, 200 millions de réfugiés climatiques devront se déplacer d’ici à la fin de ce siècle, menaçant la sécurité des états – je pense en particulier aux états africains, qui insistent par exemple sur le renforcement que connaît Boko Haram du fait de la disparition du lac Tchad.