Monsieur le député, nous étions ce matin dans la cour de l’Hôtel de Beauvau pour rendre hommage aux deux policiers qui ont perdu la vie avant-hier. Vous comprendrez, monsieur le député, que dans le contexte de respect que l’on doit à ceux qui ont perdu la vie dans de telles circonstances, je ne veuille pas répondre à votre question en empruntant ce ton polémique, inutilement agressif et qui contribue à l’abaissement de la parole publique dans un contexte où le pays a, au contraire, besoin de voir cette parole s’élever.