C’est la raison pour laquelle, il y a déjà quelques semaines, j’avais interrogé par écrit et publiquement le ministre de l’intérieur en lui demandant d’interdire les manifestations. Il m’a été répondu par écrit – et je tiens la lettre à votre disposition – que c’était impossible. J’entends aujourd’hui que ça ne l’est pas. Nous avons donc perdu trois semaines et vos décisions ont contribué à faire blesser inutilement des policiers qui ne méritaient pas cela.