Oui, nos prisons peuvent annoncer nos malheurs de demain. Il faut donc être lucide sur le constat, regarder froidement la question et ne pas sombrer dans la surenchère, parce que je ne crois pas que la vie politique soit mue par une sorte de moteur à explosion.
Ce que vous venez de dire de l’action du Premier ministre ne reflète pas la réalité et vous le savez très bien. On peut s’opposer sans être brutal : je vous le dis, sur ce point-là vous aviez tort.