Cet accord a eu un premier effet positif : c’est qu’il y a aujourd’hui moins de réfugiés qui affluent – une centaine par jour – et donc moins de femmes, d’hommes et d’enfants qui meurent dans ces conditions tragiques.
La France a veillé à plusieurs choses, et d’abord au respect de ce principe : que les demandes d’asile soient instruites individuellement, qu’il n’y ait pas de rejet massif sans examen individuel des dossiers, et qu’il puisse y avoir, conformément au droit européen, un droit au recours individuel.