Il faut partir du service de proximité du médecin traitant, du médecin libéral, qui doit être mieux reconnu, mieux formé, et dont le travail doit être revalorisé. Et qu’on n’aille pas l’accuser de l’existence de déserts médicaux ! Nous sommes pour la liberté d’installation, et les déserts médicaux sont déjà des déserts tout court, des territoires oubliés de la République dans lesquels il n’y a plus aucune activité.