Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, j’ai bien entendu les arguments de notre collègue Le Borgn’. Je souhaite évidemment que le débat se poursuive, que les amendements soient examinés. Valérie Boyer et moi-même espérons donc que nous aurons l’intelligence, le coeur, et la lucidité de rejeter cette motion. En réalité, si nous ne pouvions continuer à débattre cette après-midi, ce serait d’une certaine façon le silence qui s’imposerait, et on ne peut faire silence sur des questions de société aussi graves.