Les organismes qui ne construisent plus rénovent, réhabilitent, ont des quartiers sensibles. Ils se trouvent donc dans l'obligation d'investir, de mettre aux normes thermiques et d'accessibilité. Le mouvement HLM lui-même a décidé de mutualiser ses fonds afin de créer un flux qui aille vers les organismes les plus constructeurs dans les zones tendues et, dans les zones où les tensions sont moindres, apporte une aide à la mise aux normes. Je rappelle qu'il y a quatre millions et demi de logements et certains sont – en termes économiques – peut-être à démolir. Il faut les remplacer quand la population est encore là. Quand il n'y a plus de population, il n'y a plus de locataires. Donc cela ne rapporte rien.