Jean-François Gérard-Varet, conseiller ordinal, membre de la section « Santé publique et démographie médicale » du Conseil national de l'ordre des médecins :
Je suis réservé. Si l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) publie des données plus consistantes l'an prochain, pourquoi pas ? Pour l'instant, il me semble que ce serait mettre la charrue avant les boeufs.