Chacun est persuadé que la montée en charge du service civique passe par une gouvernance de proximité, mais nous ne voulons pas d'un délaissement du dispositif à des partenaires non identifiés par la loi. C'est l'État qui est aux commandes, et j'ai déposé un amendement prévoyant que les sous-préfets coordonnent les travaux des commissions de citoyenneté chargées de l'animation du service civique, et informe l'État.