J'ai bien entendu qu'il ne serait pas logique de placer le maire et le préfet sur le même plan, encore que, d'un certain point de vue, le maire est aussi un représentant de l'État. Je ne comprends cependant toujours pas pourquoi, au sujet d'une donnée ayant vocation à être partagée, on crée dès le départ un double niveau de partage. Plus les acteurs du logement partagent la même connaissance, plus on réduit les risques de conflit. Intégrer les maires parmi les autorités destinataires des données ne retire rien au préfet, ni au Parlement ou à l'EPCI : il s'agit simplement de donner à tous le même niveau d'information. Dès lors, il n'y a aucun intérêt à exclure les maires.