J'entends les arguments développés par M. Berrios, mais la première peine qu'ont à subir les habitants de ces communes est de ne pas avoir suffisamment de logements locatifs sociaux, ni une offre de logements à prix maîtrisés leur permettant de vivre dans des conditions correspondant à leurs revenus. Les communes carencées sont celles que l'État a reconnues comme n'étant pas sur la voie qui leur permettrait d'avoir une offre de logements correspondant à l'objectif fixé par la loi. Dans le même temps, si ces communes touchent la DSU, c'est bien que certains de leurs habitants ont des difficultés à se loger. Au moins pourrait-on s'entendre là-dessus.