Il ne s'agit pas d'empiéter sur le français. Les langues « régionales », notamment d'outre-mer, sont nourries par le français, et sont sources du français. Ce n'est pas parce que le français n'est pas parlé de la même façon qu'il en est moins du français.
C'est le seul point, dans tout le titre III, sur lequel Marie-Anne Chapdelaine et moi sommes en désaccord. Pour ma part, je suis favorable à cet amendement.