Des hordes de casseurs s’en sont prises à des bâtiments publics, à des biens et à des policiers qui, en raison de l’uniforme qu’ils portent, incarnent le droit.
Voilà pourquoi je ne peux pas, en responsabilité, accepter que, sans condition, des rassemblements ou des manifestations aient lieu à Paris, conduisant des manifestants à se trouver exposés, des biens à se trouver exposés et des policiers à être de nouveau attaqués.
Je ne peux pas accepter non plus que l’on continue, sur ces sujets, à mettre en cause les forces de l’ordre