On parle souvent de coproduction législative. Pour ce qui est du texte qui nous occupe aujourd’hui, ce n’est pas un vain mot, et cela explique également la durée de gestation de la loi, que j’évoquais il y a quelques instants. D’abord, parce que Philippe Martin, puis Ségolène Royal, ont pleinement associé à l’élaboration du texte les ONG, les associations d’usagers de la nature, les professionnels.