Vous l’avez d’ailleurs admis indirectement quand vous avez rappelé les reproches que l’on vous faisait en 1976 – on peut vous faire les mêmes reproches aujourd’hui –, et vous avez commencé à vous en excuser. Dans cette vision dogmatique et déconnectée des réalités, vous pensez qu’on peut protéger la nature au point de nier toutes les activités humaines qui y sont liées.
Madame la rapporteure, vous avez dit tout à l’heure que la vie était essentielle. Elle l’est, en effet, mais la conscience est plus importante. Une terre sans conscience est une terre sans vie.