Pour la libéralisation des visas, soixante-douze critères doivent être remplis. Aujourd'hui, seuls soixante-huit le sont, me semble-t-il. Au cas où ces critères ne seraient pas remplis à la fin du mois, que se passerait-il ? Vous avez dit que le président Erdogan était un personnage « singulier » ; qu'entendez-vous par là, et qu'est-ce que cela peut faire craindre en cas de refus concernant les visas ?
Des décisions ont été prises en France – et j'en félicite le ministre Bernard Cazeneuve – pour remédier aux attaques inacceptables dont la police fait l'objet. Je suppose qu'il y a aussi de nombreuses manifestations en Allemagne et que les forces de police y sont parfois prises à parti. Avez-vous adopté des mesures spécifiques ?