Je me rappelle également la violence des images lors du sommet de l’OTAN à Strasbourg en 2010, alors que Nicolas Sarkozy était Président. Et je pourrais rappeler cela en permanence. Quand, dans l’opposition, on juge d’une politique, celle d’un gouvernement, d’un président ou d’une majorité, on ne devrait pas, contrairement à ce que vous venez de faire, se référer à la presse étrangère, laquelle porte et portera toujours à sa manière un regard sur la France. Pour ma part, j’essaie, notamment lorsqu’il s’agit d’une séance de questions consacrée à des sujets européens, de valoriser mon pays.