Je n’ajouterai que peu de choses au débat, car beaucoup a déjà été dit. Sur les néonicotinoïdes, nous devons adopter une attitude responsable et pragmatique. Oui, il faut fixer une date d’interdiction de ces substances nocives pour la santé, dont les agriculteurs sont les premiers à souffrir. Mais on doit aussi être pragmatique et se laisser du temps. Il faut une période de transition pour trouver des produits de substitution et des méthodes qui permettront l’abandon progressif des néonicotinoïdes.