Je veux bien répéter ce que j'ai déjà indiqué : la question, pour moi, n'est pas d'être primo-arrivant, mais d'être primo-compétent. Quand vous vous trouvez dans un lieu clos, à tel moment, il vaut mieux que ce soient des forces spéciales qui interviennent plutôt que l'unité de l'armée de terre qui a une vocation de sécurisation de zone. C'est aussi une question d'appréciation du chef, même s'il est primo-arrivant. Dans le contexte d'une opération extérieure, la question est réglée par le commandement militaire ; dans celui d'une opération intérieure, à moins d'être primo-arrivant, ce sont les forces de sécurité intérieure qui décident.