Le commissaire de la BAC qui, lui, est entré au Bataclan avec son arme de poing ne s'est pas posé ce genre de question philosophique. Il s'est dit : je suis policier, j'ai une arme, des gens sont en train de se faire tuer, j'entre. Et, s'il est certain qu'il n'a pas respecté la procédure habituelle, sans doute a-t-il sauvé des vies.