Je ne nie certainement pas que la situation des personnes concernées en l'occurrence relève de l'urgence, mais nombreuses sont les situations qui relèvent de l'urgence. Si nous les recensons toutes, si nous donnons la priorité à toutes, alors il n'y a plus de priorité. Les critères en vigueur devraient déjà permettre de traiter les situations évoquées, sans qu'il soit besoin d'édicter une nouvelle priorité.