D'aucuns disent, monsieur le commissaire, que le mois de juin est celui de tous les dangers. La Réserve fédérale (Fed) américaine prendra des décisions qui auront un impact sur le taux de change entre l'euro et le dollar, et le Royaume-Uni quittera peut-être l'UE. En outre, la Chine dévaluera peut-être sa monnaie, et le Japon pourrait la suivre dans cette voie. Le risque de déflation existe toujours, et les banques centrales n'ont pas atteint leurs objectifs. Que pensez-vous de ce tableau ? Peut-on se montrer positif, comme vous l'avez été dans votre exposé ?
Si une assiette commune de l'IS était définie à l'échelle de l'UE, parviendrions-nous à harmoniser les taux ?