Je prends la parole pour m’attarder quelque peu sur l’exposé sommaire de votre amendement. Je tiens à le lire parce que, quelquefois, les amendements défilent un peu vite et l’on relativise la force des mots et la violence des pensées.
Ce que vous voulez enlever, je le rappelle, ce sont les mots : « la mixité sociale ». Or vous écrivez : « Ajouter de l’idéologie juste après la défense de la cohésion nationale, c’est ajouter du poison là où l’on voudrait soigner un mal. »
C’est-à-dire que, pour vous, la notion de mixité sociale est un poison. Eh bien, je n’ai rien à ajouter pour vous définir.