Volontiers, madame la présidente.
Ces amendements visent à généraliser une écriture plus inclusive et représentative, afin de garantir l’égalité dans le langage, ce qui est primordial dans la construction de la pensée, et dans l’évolution des mentalités.
Rendre visible les femmes dans la langue en usant du féminin pour nommer notre quotidien permet de redonner toute leur place à celles qui représentent plus de la moitié de la population. Le Conseil économique, social et environnemental suit aussi cette logique dans son rapport de 2015, qui préconise l’utilisation de cette écriture. Je demande à l’Assemblée de tenir compte de l’écriture épicène et d’utiliser une communication sans stéréotype de sexes.