Cet amendement, de même que les amendements nos 1342 à 1348 , vise à systématiser une communication sans stéréotype de genre en généralisant le recours à l’écriture épicène. Nous en avons débattu en commission et accepté le principe, même si, à titre personnel, je ne suis pas complètement convaincue de l’opportunité de cette proposition. Nous avons fait évoluer les libellés des titres et chapitres du projet de loi. Il me paraît compliqué de déroger dans l’ensemble du texte à la règle française selon laquelle – malheureusement – le masculin l’emporte et détermine les marques du pluriel. Pour rapprocher les positions, je rappelle que cette règle vient du bas latin – écoutez-moi, madame Genevard, je parle du latin !