Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, chers collègues, après la crise financière, après la crise des réfugiés, après le terrorisme, voici le choc du brexit, qui peut s’avérer fatal si nous n’agissons pas avec un sens aigu de l’intérêt général européen.
Il serait dangereux, et médiocre, de voir dans le vote britannique la simple rançon d’un populisme insulaire.