En cela, monsieur le Premier ministre, la réforme de notre fiscalité et le renforcement de notre compétitivité deviennent une nécessité vitale. (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains et du groupe de l’Union des démocrates et indépendants.)
La seconde étape devra être de recentrer l’Europe sur des priorités stratégiques. À force de vouloir s’occuper de tout, l’Union européenne passe à côté de l’essentiel.
Nous ne serons jamais un État fédéral.