Mme la rapporteure thématique vient de nous dire : n’ajoutons pas de la confusion à la confusion. Cela va donc dans le sens de mes arguments. L’objet de cet amendement est de réussir la synthèse que nous ne parvenez pas à réaliser, entre toutes ces réserves dont vous avez oublié jusqu’au nom. Julien Aubert a raison : un jour ou l’autre, nous devrons les réunir en un seul ensemble. Peu importe qu’il s’appelle garde nationale ou réserve nationale, dès lors que le dispositif est simple. Combien notre pays compte-t-il de réserves aujourd’hui ? Douze ? Vous ne le savez pas.