pour revenir non pas à la période 2007-2012, au cours de laquelle la dépense publique a augmenté de 3,5 %, mais seulement d’une année.
Voilà un an jour pour jour, ceux qui siègent sur les bancs de l’opposition nous annonçaient l’apocalypse pour l’exercice 2015, affirmant que 10 milliards d’euros manqueraient et que l’objectif de 3,8 % de déficit risquait de n’être pas atteint. Or, le déficit a été de 3,6 %, c’est-à-dire inférieur à nos prévisions.