Soit on est favorable au contrôle et on va jusqu’au bout, soit on s’y oppose. J’avoue, pour ma part, n’avoir aucun problème avec le contrôle. Venez concrètement, régulièrement, contrôler ce que je fais, je n’ai rien à me reprocher. Quand on a peur du contrôle, c’est qu’il y a une difficulté dans la manière d’enseigner. Je ne comprends donc pas ce débat. Encore une fois, la détermination par l’autorité administrative du lieu et des modalités du contrôle intervient en cas de soustraction de l’enfant.