J’affirme à mon tour à Mme la présidente de la commission spéciale que nous sommes bien sur la même longueur d’onde. Nous disons oui au contrôle, y compris au contrôle pédagogique, et non au bourrage de crâne et à la radicalisation, c’est évident ! Il me semble néanmoins que la radicalisation a bon dos. Nous modifions en effet sans en avoir l’air, par un article dont les conséquences n’ont pas été évaluées, un droit fondamental affirmé dès la Troisième République, en 1882, et réaffirmé en 1998.