La mise en place du non-cumul des mandats à partir de 2017 est en effet susceptible d’entraîner ce type de désagrément, voire de menacer la présence du parlementaire sur le territoire de sa circonscription où il sera potentiellement confronté à des élus locaux désireux de prendre leur revanche au lendemain d’une élection, ce qui est bien compréhensible !