Que l’on partage ou non ses convictions, on doit reconnaître qu’il a eu au moins le courage de venir débattre !
Ce n’est pas le cas de la ministre de l’éducation nationale, qui est plus présente devant les caméras, dans les conférences de presse, où elle annonce des mesures, que pour défendre certaines dispositions devant la représentation nationale : elle a peur du débat.