Je continue de soutenir l’idée de M. Carpentier et j’espère que la proposition qu’il formule à travers ses amendements aboutira. On serait ainsi complètement dans la continuité de l’apprentissage à la sécurité, qui se fait déjà dans le primaire. Qui plus est, je le répète, apprendre le code de la route ne manque pas d’intérêt pédagogique. Dans les entreprises, on nous dit régulièrement que les savoirs de base – lire, écrire, compter – devraient être étendus à l’apprentissage de la manière dont il faut se comporter. À cet égard, l’apprentissage du code de la route comporte tout de même un intérêt plus que remarquable.
Concernant l’impact des mesures proposées par M. Carpentier sur les auto-écoles, je souligne qu’il ne serait pas exclu qu’elles puissent intervenir dans le milieu scolaire pour y dispenser des cours.
Et puis, s’agissant du financement, des assurances, à travers des fonds de sécurité routière, pourraient y contribuer, ainsi d’ailleurs que la région.